Au cours d’une résidence « Le temps de l’étang », Aurélie Calmet a regardé et écouter la lagune de Thau. L’idée est de raconter par le trait, la couleur et quelques mots, un peu de ce qui se joue ici.
        On la nomme « étang », mais c’est une lagune.
La lagune de Thau. Elle est unique, et chacun la vit à sa manière. Au cours d’une résidence dans le cadre de la biennale « Le temps de l’étang », Aurélie Calmet a regardé, écouté ce milieu particulier, celles et ceux qui y vivent afin de collecter la matière première de son travail.
L’idée est de partager la multiplicité de ce territoire particulier par le sensible. Des premières esquisses saisies sur le vif, brutes, des mots saisis au vol, à la création qui va émerger de cela. Parce que la ligne n’est pas la même s’il fait froid, s’il y a du vent, si on parle en dessinant ou si on nage en même temps.
Raconter par le trait, la couleur et quelques mots, un peu de ce qui se joue ici.
Vernissage, samedi 15 novembre 11h